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La candidate désignée par le Conseil pour briguer la présidence de la Commission est une figure essentielle de la vie politique allemande. Tantôt consensuelle, tantôt impopulaire, la ministre de la Défense d’Angela Merkel devra réunir au Parlement, autour de sa candidature, une « Très grande coalition » européenne. C’est en Allemagne que sa nomination divise le plus.
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