Des grands médias aux chancelleries, depuis l’émergence du concept d’Hypnocratie dans les pages du Grand Continent Jianwei Xun fascine.
Aujourd’hui, nous dévoilons le dispositif au cœur de sa véritable identité.
Des grands médias aux chancelleries, depuis l’émergence du concept d’Hypnocratie dans les pages du Grand Continent Jianwei Xun fascine.
Aujourd’hui, nous dévoilons le dispositif au cœur de sa véritable identité.
Une méthode de codage qui cherche à hacker le cœur de l’Amérique pourrait détruire le duo Trump-Musk — et expliquer le rapprochement entre Washington et Moscou.
Au cœur de l’accélération réactionnaire, le D.O.G.E. est fondé sur une contradiction interne qui risque de fragiliser l’Empire Trump.
Andrea Venanzoni introduit un concept clef.
Musk, « Big Balls » et les hommes du D.O.G.E sont en train de prendre le contrôle de l’État fédéral américain.
Derrière cette blitzkrieg administrative, la brutalité fracassante des algorithmes subvertit le pouvoir infrastructurel à tous les niveaux de l’administration — avec une méthode : s’affranchir de toute règle ; et un objectif : hacker la démocratie américaine.
De la Maison-Blanche au Kremlin, une conspiration pour soumettre l’Europe à des changements de régime est en marche — elle passe par des algorithmes et des robots.
Mais face à la guerre totale de l’information menée sur le continent, des forces immenses n’ont pas encore donné : il est possible de sauver la démocratie.
Xavier Bouvet, Emmanuel Rivière et Benoît Thieulin proposent un chemin et une méthode pour mobiliser les imaginaires.
Avec son IA Grok, Elon Musk est en train de construire un outil à la frontière technologique au service d’un projet politique : hégémoniser l’espace numérique avec ses idées.
Pour y parvenir, il fait subtilement le lien entre la « liberté d’expression » et une technologie « à la recherche maximale de la vérité ».
Gary Marcus décrypte l’inquiétante mécanique orwellienne de ce récit insidieux.
« La plus grande menace pour l’effet Bruxelles n’est pas Trump — ce sont les Européens eux-mêmes. »
Alors que le monde de l’IA se réunit à Paris, l’alliance entre le gouvernement américain et les Big Tech de la Silicon Valley voudrait casser le modèle européen fondé sur la régulation du numérique.
Comment résister ? Pour la juriste de Columbia Anu Bradford, l’Europe pourrait remporter le bras de fer si elle cesse d’avoir peur de son propre agenda.
« En s’attaquant directement au pouvoir et à l’influence des Big Tech, les Européens peuvent encore créer une alternative. Ce n’est qu’à cette condition que la technologie pourra continuer à contribuer à la prospérité commune, au lieu de devenir un outil de domination permettant à une minuscule élite d’asservir le reste de l’humanité ».
Un inédit signé Daron Acemoğlu, Prix Nobel d’Économie.
Alors que s’ouvre à Paris le Sommet pour l’Action sur l’IA, Emmanuel Macron a annoncé un plan d’investissement de 109 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle.
Pour les auteurs d’une Note pour l’action que nous publions aujourd’hui, il faudrait doubler ce montant pour permettre à la France de stimuler l’effort continental suffisant à replacer l’Europe dans la course mondiale à la puissance de calcul d’ici 2030.
Besoins clefs, investissements, contre-récit pour débloquer l’IA en France et en Europe.
L’agenda impérialiste d’Elon Musk et Donald Trump se déploie sous nos yeux, il a lieu sur et grâce à des plateformes que nous utilisons quotidiennement : en Europe, nous avons assisté passivement à notre vassalisation numérique.
Pour André Wilkens, il n’est pas trop tard pour retrouver notre souveraineté. Cela implique de déclarer et de défendre l’indépendance de l’espace numérique européen.
« La course à la suprématie de l’IA est pour l’instant terminée — et les États-Unis ne l’ont pas emportée. »
Psychologue et scientifique cognitif, Gary Marcus critique depuis longtemps Sam Altman et les promesses de la Silicon Valley autour des LLM.
Dans un entretien clef, il tire les premières leçons du choc DeepSeek sur le monde.