La classe politique russe n’est pas un bloc monolithique et la séquence qui a suivi l’interdiction de Telegram montre qu’il ne faut parfois pas grand-chose pour que son unité de façade se craquèle
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« Si les choses vont vraiment mal avec la Russie ou la Corée du Nord, rien à Bruxelles ne vous sauvera — seulement l’Otan »