« Si l’impérialisme agressif de la Russie de Vladimir Poutine était réellement perçu comme un risque existentiel pour l’Union comme c’était le cas du Covid-19, le choix d’une dette commune serait vite fait. »
Dans une pièce de doctrine, le Haut Représentant de l’Union européenne pour la politique étrangère Josep Borrell réagit au rapport Draghi.