Un événement exceptionnel
De l’Ukraine à l’Iran : décoder un monde cassé → Rendez-vous à l'École normale supérieure ce mardi
Écrivain, poète
Ancien élève de l'ENS de Saint-Cloud, Yves le Pestipon est écrivain et poète, agrégé et docteur en lettres, professeur en classes préparatoires à Toulouse. Il est l'auteur, entre autres, de Nouvelles fables inutiles et spécialiste de La Fontaine, sur lequel il a écrit plusieurs livres.
En ces jours de printemps, Pâques, Pessah et le Ramadan coïncident. Un enchâssement chaque année mystérieux qui définit peut-être notre manière, en Europe, d’articuler nature et culture, le temps du siècle et un autre temps. Pour essayer de saisir ce quelque chose qui nous réunit, nous avons invité des signatures et des amis de la revue à partager avec nous l’anthropologie d’un moment.
Pour répondre aux angoisses structurelles nées de deux guerres, de l’horreur et de la destruction, le XXe siècle a suscité puis fait émerger massivement une icône animale, aujourd’hui présente partout dans le monde. Ce texte tente de faire la généalogie de ce symbole étrange et apparemment inoffensif — bientôt un siècle après le chef-d’œuvre de Milne.
À l’occasion de la réédition de Récoltes et semailles, Yves Le Pestipon revient sur la vie d’Alexandre Grothendieck, un mathématicien de génie dont, en réalité, la plupart des gens ne savent rien.
Il faut prendre au sérieux l’artiste Giscard d’Estaing pour écouter ses « pavés disjoints ». L’hommage d’un de ses commentateurs les plus fins.
