
Trois semaines après sa victoire controversée lors de l’élection présidentielle bolivienne, Evo Morales et son vice-président Alvaro García Linera ont dû démissionner de leurs fonctions. Cela fait suite à une hausse des violences depuis la confirmation de sa victoire par le Tribunal suprême électoral (TSE) le 2 novembre. De nombreuses violences ont éclaté dans le pays conduisant à la démission de ministres, diplomates, députés, maires acquis au Mouvement vers le socialisme (MAS), le parti de Morales. Un leader de l’opposition apparaît : Luis Fernando Camacho Vaca.