Résultat pour : trump


La vice-présidente espagnole, ministre de la Transition écologique et du défi démographique, constitue le principal obstacle à la prise de fonction de la Commission von der Leyen II début décembre. Elle témoignera aujourd’hui, mercredi 20 novembre, devant le Parlement espagnol, sur la gestion des inondations à Valence, alors que les groupes politiques au Parlement européen se rapprochent d’un accord qui pourrait débloquer les vetos croisés du Parti populaire et des socialistes.

Si l’unité européenne s’est bâtie sur l’énergie, l’Europe a elle-même créé les conditions d’un blocage en s’enfermant dans une Ostpolitik énergétique.

Il y a 1000 jours, l’invasion de l’Ukraine a tout changé.

Autrefois un obstacle à l’Union de l’énergie, le «  facteur russe  » en est finalement devenu le moteur. Adina Revol signe une histoire en 10 points de la rupture énergétique avec la Russie.

Ne pas compter sur Scholz. Regarder Trump en face. Dissuader Poutine par des troupes au sol. Créer les conditions d’une alliance entre l’industrie et les militaires. Donner à la génération meurtrie par la guerre une chance d’espérer la prospérité.

Au millième jour, le front de la grande guerre d’Ukraine se transforme.

Avec l’ancien ministre de l’Économie ukrainien, nous disséquons les changements profonds à l’orée d’un nouveau cycle.

Aujourd’hui, mardi 19 novembre, marque le 1 000e jour depuis le lancement de l’invasion russe à grande échelle de l’Ukraine, le 24 février 2022. Alors que Volodymyr Zelensky se dit de plus en plus ouvertement favorable à une fin du conflit en 2025, Poutine maintient quant à lui une volonté de négociation de façade. Le conflit aurait provoqué plus d’un million de victimes chez les deux belligérants.

Les dirigeants des pays du G20 se réunissent aujourd’hui et demain à Rio, au Brésil, pour le sommet annuel du forum. Seule la Russie n’y sera pas représentée par son chef d’État ou de gouvernement, mais par son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Les éléments de langage sur l’Ukraine dans la déclaration finale du sommet témoigneront de la capacité de la Russie à peser, après près de 1 000 jours de guerre, dans l’une des enceintes multilatérales parmi les plus diverses.

La décision annoncée dimanche 17 novembre par la Maison-Blanche d’autoriser l’utilisation par Kiev d’armes longue-portée américaines pour frapper des cibles en Russie constitue un revirement historique – à quelques semaines seulement de l’arrivée au pouvoir de Trump. L’impact de ce changement sur le terrain sera cependant soumis à plusieurs facteurs.

Aujourd’hui, vendredi 15 novembre, 100 jours ont passé depuis que Kiev a lancé son incursion massive en territoire russe, dans l’oblast frontalier de Koursk. Les troupes ukrainiennes, qui maintenaient une présence sur 1 320 km² à son pic les 23 et 24 août, revendiquent désormais 552 km² de territoire russe – soit une baisse de 58,2  % par rapport à fin août.

En 2023, les États-Unis ont reçu 1,18 million de demandes d’asile contre 1,12 dans la totalité des pays européens membres de l’OCDE (24 au total). Trump, qui a dénoncé à plusieurs reprises lors de son premier mandat le caractère «  frauduleux  » de certaines de ces demandes, pourrait chercher à réinstaurer sa politique «  Remain in Mexico  » à son retour à la Maison-Blanche.

Si les États membres parviennent à se passer du gaz russe transporté via gazoduc, le gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie représente toujours plus de 16  % des importations européennes depuis le début de l’année. Afin de continuer à réduire sa dépendance vis-à-vis de Moscou, la Commission européenne étudierait la possibilité d’augmenter ses importations de GNL américain — ce qui renforcerait davantage sa dépendance énergétique vis-à-vis de Washington.

Aujourd’hui, lundi 11 novembre, s’ouvre à Bakou la COP 29. Le segment de haut niveau, en présence de nombreux chefs d’État et de gouvernement, s’ouvrira demain. Sur fond de l’absence remarquée des dirigeants des principaux pays émetteurs de CO2 (Chine, États-Unis, Russie, Inde, etc.), et en raison des priorités affichées par le pays hôte – dont 90  % des exportations proviennent des énergies fossiles – et de la victoire de Donald Trump, les attentes sont minimes.