Résultat pour : trump


Selon notre dernier sondage Eurobazooka parmi les électeurs français, ceux du Rassemblement National sont – après Reconquête – les plus nombreux à considérer le président américain comme étant un «  ami  » de l’Europe  : 25  % partagent cet avis, contre 9  % en moyenne en France.

Dans une première version non-publiée, dont l’existence a été révélée par des médias américains, la Maison-Blanche allait plus loin dans son projet de vassalisation de l’Europe  : soutenir des partis alignés sur le mouvement MAGA, pousser quatre États membres à la sortie de l’Union, et exclure le continent des affaires internationales en créant un nouveau format concurrent au G7, le «  C5  », auquel la Russie et la Chine seraient invités.

Une figure opère dans l’ombre pour réaliser la jonction ultime entre l’élite accélérationniste des milliardaires de la Silicon Valley et le Midwest désindustrialisé — Charles Buskirk.

Le concept au cœur de son action est encore trop peu connu en Europe.

Nous en traduisons les textes canoniques et en présentons les figures clefs.

Depuis le début de l’année, sur la période janvier-septembre, le nombre de voyageurs internationaux aux États-Unis est en baisse de 5,5  % par rapport à 2024.

L’administration Trump a pourtant annoncé hier, mercredi 10 décembre, son intention de contraindre les touristes étrangers souhaitant visiter le pays à fournir l’historique de toute leurs activités sur les réseaux sociaux au cours des cinq dernières années.

Tandis que les discussions entre Kiev et Washington concernant un accord visant à mettre fin à la guerre russe contre l’Ukraine se poursuivent, la Maison-Blanche multiplie les initiatives visant à favoriser les entreprises américaines.

Dans des documents diffusés récemment en Europe, l’administration Trump promeut la création d’un gigantesque centre de données alimenté par l’énergie nucléaire ukrainienne et promet des salaires «  similaires à ceux de la Silicon Valley  » pour les vétérans ukrainiens.

Le banquier le plus écouté de la planète a quelque chose à dire  : «  une Europe faible est néfaste — pour les États-Unis comme pour tout le monde civilisé  ».

Après un an d’administration Trump, Wall Street a appris à parler le langage MAGA mais souhaite infléchir la ligne du Pentagone  : «  si l’Union se fragmente, les États-Unis en seront affectés plus que quiconque  ».

Malgré les tentatives de Donald Trump de présenter l’Ukraine comme constituant le principal obstacle à la fin du conflit, les Républicains continuent de soutenir majoritairement Kiev.

La part d’électeurs du GOP favorable à l’envoi d’armes à l’armée ukrainienne a même augmenté en un an, passant de 44 à 59  %, selon un sondage réalisé par le Ronald Reagan Institute.

Depuis des années, le président russe et sa diplomatie répètent le même refrain à qui veut l’entendre  : la Russie ne veut pas de cette guerre dans laquelle l’Occident l’a jetée  ; elle est prête à négocier à tout moment  ; le seul obstacle à la résolution du conflit vient de l’entêtement de la partie ukrainienne. Le président américain, Donald Trump, a repris ce même narratif dimanche 8 décembre sur son réseau social Truth Social.

Pourtant, à lire ses déclarations, l’approche russe se limite essentiellement à menacer tous les alliés de son adversaire de représailles et à marteler des exigences maximalistes sans jamais les faire évoluer.