Alors que l’approvisionnement de gaz russe vers l’Europe s’est réduit de près de deux tiers en 2022, Moscou ne parvient pas encore à écouler sa production, ses infrastructures de transit étant pour l’essentiel tournées vers l’Ouest ; les contrats en cours avec Pékin devraient néanmoins à terme pouvoir permettre une diversification de ses exportations.
Un graphique pour montrer en quoi cela change la donne.