Résultat pour : la chine


À New York, les États Unis reçoivent dans leur capitale internationale — qui est aussi celle de l’empire Trump — leurs affidés. Pour distribuer les bons et les mauvais points.

Mais sont-ils réellement si puissants  ?

L’impasse sur le Moyen-Orient et l’Ukraine, le refus de la transformation écologique de l’économie, ainsi que l’incapacité à comprendre la demande des peuples de voir leur autonomie respectée ont glacé une salle qui s’attendait à entendre des énormités.

Nous avons sélectionné les moments clefs de cette intervention.

Dans un discours historique et anti-impérial qui a électrisé la salle de l’Assemblée générale des Nations unies avant l’entrée en scène de Donald Trump, Lula s’en est pris à l’ingérence américaine en articulant une doctrine  : un nouvel exceptionnalisme sud-américain — la possibilité d’une renaissance du multilatéralisme depuis un continent sans arme de destruction massive et construit sur l’aspiration des peuples à la justice et à la paix.

Nous le traduisons.

Le nouveau président sud-coréen Lee Jae-myung, élu en juin suite à la destitution de son prédécesseur Yoon Suk-yeol en décembre, se rend aujourd’hui aux États-Unis pour la deuxième fois en moins d’un mois.

Malgré la pression exercée par l’administration Trump pour conclure un accord sur les droits de douane, dont les termes sont similaires à celui signé cet été par Tokyo, aucune rencontre avec le président américain n’est prévue à New York.

À la fin de la journée du lundi 22 septembre, 157 États membres de l’ONU devraient reconnaître l’État de Palestine, soit 81  % des membres des Nations unies.

Depuis 1988, ce processus n’a rien de linéaire.

Nous proposons une chronologie en cartes des différentes étapes jusqu’à la reconnaissance qu’Emmanuel Macron annoncera aujourd’hui.

L’unité — sans les tabous.

À Porto — à la veille de son départ pour l’Assemblée générale des Nations-Unies et à l’issue d’une tournée européenne qui l’a vu rencontrer les 27 chefs d’État et de gouvernement — nous avons rencontré le président du Conseil européen.

Entre Trump et Poutine, comment construire un consensus européen pour tourner la page de l’été de l’humiliation  ?

Depuis début septembre, une task force marine américaine frappe des embarcations vénézuéliennes — officiellement pour lutter contre le «  narcoterrorisme  ».

Cette semaine, le Venezuela a annoncé le lancement de l’exercice militaire «  Caraïbes souveraines  ».

En confrontant Maduro et en arsenalisant le Guyana voisin, Trump est en train de préparer les conditions d’une escalade avec un objectif clair  : assurer la domination totale des États-Unis sur leur hémisphère.

De vifs débats agitent ces jours-ci les cercles stratégiques à Washington.

Ne faudrait-il pas carrément abandonner l’Ukraine  ? Faut-il vraiment protéger Taïwan  ? N’est-il pas plus utile de se concentrer uniquement sur «  l’hémisphère occidental  »  ?

Dan Caldwell et Jennifer Kavanagh sont parmi les partisans les plus radicaux de cette révision doctrinale.

Pour comprendre quelle forme pourrait prendre la nouvelle posture des forces américaines, nous les avons rencontrés.