
Hier, jeudi 21 novembre, le Conseil des gouverneurs de l’AIEA a voté une résolution déposée par le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne et soutenue par les États-Unis, susceptible de mener à nouveau à des sanctions internationales à l’encontre de l’Iran, levées par l’accord sur le nucléaire (JCPOA), signé il y a presque dix ans à Vienne. Quelques jours plus tôt, Téhéran s’était engagé à limiter le taux d’enrichissement de son uranium.