En début de semaine dernière, le général Gaid Salah a accusé les millions d’Algériens qui, depuis six longs mois, exigent la nécessité d’une transition transparente pour permettre des élections présidentielles démocratiques, de « répandre des idées noires » – c’est-à-dire la démocratie. Il détenait la preuve de ces activités, a-t-il dit, qui « seront rendues publiques le moment venu ». Le lundi 2 septembre il a annoncé que les Algériens retourneront voter avant la fin de l’année. Le combat se prépare. Un aperçu des relations économiques internationales avec l’Algérie dont la clé de compréhension se situe dans les relations avec trois pays permettent d’entrevoir le cadre de ces luttes politiques.