L’approbation d’un accord pour un “Brexit doux” par le gouvernement britannique a déclenché la rébellion des conservateurs plus extrémistes et les démissions de deux ministres de rang. Mais, vu le soutien de la majorité des députés de son parti, un éventuel renversement de Theresa May est difficilement envisageable.
La visite de Trump au Royaume Uni, prévue pour le 13 juillet, est vue par certains partisans du Brexit comme la démonstration de la force de la « relation spéciale » entre les deux pays. Mais est-ce vraiment le cas ? Avec le désengagement des États Unis de l’Europe et son approche unilatérale, Londres semble en fait plus proche de ses alliés européens.
Theresa May a déjoué une rébellion d’un groupe de députés conservateurs, après qu’une tentative de passer un amendement pour donner au Parlement le pouvoir d’intervenir dans la négociation du Brexit.
Le Royaume-Uni publiera un livre blanc sur le Brexit pour détailler les positions britanniques sur le futur du pays en dehors de l’Union. Il semble toutefois que les profondes divergences dans la majorité conservatrice rendent plus difficile de respecter la deadline fixé par le gouvernement à fin juin.
Après deux ans de querelles sur les conséquences du Brexit sur la dévolution, une large majorité des élus au Parlement écossais a voté mardi 15 mai contre le projet de loi sur la sortie de l’Union européenne (« EU Withdrawal Bill »), qui modifie les pouvoirs dévolus au Parlement et au gouvernement écossais.