Trois mois après la démission de la présidente du SPD Andrea Nahles, les candidats ne se bousculent pas pour la présidence du parti, en profonde crise. Jadis ‘le plus beau poste, outre celui du pape’ comme le décrivait l’ex-président Münthefering, être chef du SPD a perdu en attractivité tout autant que le parti a perdu d’électeurs (actuellement à 13-15 % dans les sondages). L’exercice s’annonce difficile.
Laura Daïeff