L’Union est à un tournant. Si elle décide de se saisir du rapport Draghi, un bon en avant est possible pour mener de front les trois transitions. Une pièce de doctrine signée José Manuel Albares Bueno, ministre espagnol des Affaires étrangères — en réponse à Mario Draghi.
José Manuel Albares
Ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération
José Manuel Albares est le ministre espagnol des Affaires étrangères, de l’Union européenne et de la Coopération depuis 2021 sous le gouvernement de Pedro Sánchez. Membre du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), il est homme politique et diplomate espagnol.
Albares a fait des études de droit et de gestion culturelle à l’international.
Alors que se tient à Blenheim Palace le quatrième sommet de la Communauté politique européenne, le ministre des Affaires étrangères espagnol articule une proposition concrète pour la diplomatie européenne : pour faire avancer l’agenda de paix, il faut reconnaître la Palestine.
José Manuel Albares a ouvert le Sommet Grand Continent. Dans un discours très suivi, il a fait le bilan de la présidence espagnole de l’Union et dessiné les perspectives de l’Europe dans la prochaine décennie. Entre réalisme et ambition, il faudra se tenir sur une étroite ligne de crête.
L’Espagne est au cœur d’un nouveau cycle : elle préside le semestre européen et s’apprête à voir peut-être sa majorité changer. Le ministre des Affaires étrangères de Pedro Sanchez présente la vision de Madrid pour l’Union.
Dans la séquence du sommet de l’OTAN à Madrid et à l’occasion du lancement d’El Grand Continent, version espagnole de la revue, le ministre des affaires étrangères espagnol, José Manuel Albares définit un nouveau concept stratégique pour l’Alliance.