Le 27 septembre 1871 d’un congrès de la Ligue de la paix et de la liberté tenu à Lausanne, la parole est confiée est à André Léo, pseudonyme de Léodile Béra, journaliste et romancière française membre de l’Internationale et réfugiée à Bâle. Relire aujourd’hui le discours qu’elle prononce à propos de la Commune est une occasion de faire le départ entre une mythologie établie par les vainqueurs pour discréditer l’expérience de la Commune, et la vision de ses partisans.
À l’occasion des 150 ans de la Commune de Paris, une anthologie littéraire de cet événement vient de paraître. Dans sa préface, ses auteurs reviennent sur les frontières entre archive et littérature et sur les héritages multiples de cet événement singulier.
« Delacroix marque le passage du peintre voyageur tel qu’il traverse l’Europe depuis la Renaissance à l’artiste-auteur qui fait de la toile un réseau moderne de relations entre nations. »