« La littérature est souvent cet espace où nous résistons à l’oubli », une conversation avec Juan Gabriel Vásquez
Littérature
Dans son dernier livre, le grand écrivain colombien Juan Gabriel Vásquez se met dans la peau de la sculptrice Feliza Bursztyn — son fantôme.
À Paris, chez lui et à deux pas de l’atelier de l’artiste qui continue à le hanter, nous l’avons rencontré pour chercher à comprendre comment il avait voulu « utiliser la littérature comme un lieu de mémoire » et accéder à la connaissance des être au-delà des sens — un chemin que seul permet le langage de la fiction.