Selon une étude du Peterson Institute, les importations américaines en provenance de Chine ont retrouvé leurs niveaux d’avant la guerre commerciale déclarée par Trump ; cependant, le commerce de certains biens ne s’est pas rétabli, en raison de droits de douane prohibitifs.

Le 31 mars, l’Italie est devenue le premier pays européen à interdire l’accès à ChatGPT, suivant ainsi des décisions similaires prises par la Chine et la Russie.

Aujourd’hui le président français entame un voyage à Pékin, où il sera accompagné par la présidente de la Commission européenne. Pour l’organisation Human Rights Watch, von der Leyen et Macron “devraient faire des droits humains une priorité lors de leur visite à Pékin”, en particulier à Hong Kong, au Tibet et dans le Xinjiang.

La ville de Bakhmout a été érigée en objectif stratégique de premier plan par la Russie et l’Ukraine. Lundi 3 avril, le chef de la milice Wagner Evgueni Prigogine a déclaré que la ville avait été prise – ce qui est contesté par Kiev et ses alliés.

Selon de récents sondages, la majorité des Américains approuvent l'inculpation de l'ancien président Trump – mais une partie d'entre eux estime que la politique a joué un rôle dans l’ouverture du procès.

Le 4 mars, l’Assemblée nationale a publié ses propositions-pilotes pour son projet de loi « Industrie verte » destiné, dans la lignée de l’Inflation Reduction Act et du Net-Zero Industry Act européen, à encourager la transition énergétique du secteur.

Le Département du Trésor américain a publié vendredi 31 mars ses nouvelles directives précisant les conditions d’octroi des subventions fiscales contenues dans l’Inflation Reduction Act.

Ce dimanche 2 avril, l’Arabie Saoudite, suivie par la Russie et d’autres pays de l’Opep+, a déclaré réduire sa production de pétrole de 500 000 barils/jour.

Si le Parti social-démocrates (SDP, S&D) de la populaire première ministre gagne du terrain en remportant 43 mandats (+3), ses partenaires du Centre (RE), des Verts, de la Gauche (GUE/NGL) et du Parti populaire suédois (SFP, RE) sont globalement en recul. Avec 99 sièges sur 200, la coalition de centre-gauche n’aurait ainsi plus de majorité parlementaire.

Comme lors du scrutin précédent, les deux partis pro-européens contrôleraient ensemble plus de la moitié des sièges. Mais leurs profils opposés sur la question de la lutte contre la corruption — formation réformiste d’une part, parti connu pour ses pratiques clientélistes de l’autre — ont jusque-là empêché toute coopération.