Mexico. Le nouveau président mexicain Andrés Manuel López Obrador (AMLO) sera confronté, en 2019, à de nombreux enjeux géopolitiques dans un pays en proie à la violence liée au trafic de drogue et au crime organisé. Le Mexique est aussi face à une vague migratoire importante depuis quelques mois en provenance d’Amérique centrale. La question de la construction du mur à la frontière avec les États-Unis et de la mise en place d’une politique de confinement sont au coeur des relations entre les deux pays. Afin de gérer au mieux cette crise migratoire, le Mexique négocierait un nouveau Plan Marshall pour l’Amérique centrale. Il consisterait en ce que les Etats-Unis versent plus d’argent au Salvador, au Guatemala, au Honduras et au Mexique pour améliorer les conditions de vie dans ces pays et limiter ainsi les flux migratoires dans la région. La mise en place de cet accord renforcerait les relations bilatérales entre les États-Unis et l’Amérique centrale. Cependant, face à la possibilité d’une nouvelle caravane de migrants centro-américains, Trump veut supprimer les aides financières déjà existantes car il estime que les pays de la région ne font rien pour retenir les flux migratoires en question. Si cette décision est appliquée et la construction du mur confirmée, l’isolation entre les États-Unis et l’Amérique centrale sera quasiment totale.
Mexico. Le nouveau président mexicain Andrés Manuel López Obrador (AMLO) sera confronté, en 2019, à de nombreux enjeux géopolitiques dans un pays en proie à la violence liée au trafic de drogue et au crime organisé. Le Mexique est aussi face à une vague migratoire importante depuis quelques mois en provenance d’Amérique centrale. La question de la construction du mur à la frontière avec les États-Unis et de la mise en place d’une politique de confinement sont au coeur des relations entre les deux pays. Afin de gérer au mieux cette crise migratoire, le Mexique négocierait un nouveau Plan Marshall pour l’Amérique centrale.
Temps de lecture: 1 min