Ce contenu est réservé aux abonnés
La réforme de l’électricité : un enjeu clé pour la stabilité du Liban
Un an après la conférence CEDRE qui en avait fait une priorité, la ministre libanaise de l’Énergie Nada Boustani a fait aboutir un plan de réforme visant à remédier au système de rationnement de l’électricité tout en résorbant la dette publique qui y est associée. Fruit de la guerre civile et des défaillances étatiques successives, le dossier de l’électricité mine tant l’économie du pays que le quotidien des libanais·e·s. Adopté à l’unanimité par le gouvernement Hariri III début avril, il a été rapidement entériné par le Parlement. Or l’engagement d’assurer une fourniture d’électricité continue éveille autant d’espoir que de méfiance.
Abonnez-vous pour lire la suite
Pour avoir accès à l’ensemble de nos publications opérationnelles (signaux faibles, dossiers de synthèse, contrepoints sur l’actualité ), rédigées chaque jour par nos analystes, et pour soutenir notre démarche, vous pouvez choisir une de nos formules d'abonnements.
Si vous disposez d’un compte, il suffit de se connecter