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La lutte du gouvernement libanais contre l’esclavage domestique des travailleuses migrantes est destinée à l’échec ?
Camille Abousleiman, nouveau ministre du travail du gouvernement Hariri III, a annoncé vouloir briser le système dit “kafala” : au croisement d’une politique des visas complaisante envers les employeurs et d’une liberté contractuelle exacerbée en faveur de ces derniers, le kafala organise l’exploitation des travailleuses domestiques étrangères en dehors de tout risque de sanction. Or les annonces du nouveau ministre peinent à susciter l’espoir quant à l’adoption de mesures concrètes à l’encontre d’une situation dont le caractère dramatique est pourtant largement documenté.
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