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La publication à la fin du mois de février, sur le site du département d’État au commerce, des objectifs des États-Unis dans leur négociation commerciale avec le Royaume-Uni en vue d’un accord post-Brexit, a suscité de vives inquiétudes à Londres. L’ampleur des réaction a contraint le gouvernement de Theresa May à démentir certaines rumeurs sur les conséquences négatives que le nouveau rapport de force entre Londres et Washington pourrait avoir, notamment en matière sanitaire, agricole et monétaire.
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