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Dictateurs contre terroristes en Asie centrale
Le gouvernement tadjik s’est récemment félicité d’avoir fermé 56 mosquées décrétées illégales. Ces fermetures s’inscrivent dans une politique de prévention du terrorisme qui passe par des mesures arbitraires, et qui risque d’attiser des ressentiments parmi les plus vulnérables au fondamentalisme religieux. Plus largement, la tendance des régimes dictatoriaux d’Asie centrale à user de moyens autoritaires, voire liberticides, pour tenter d'endiguer l’extrémisme risque de se retourner contre eux. Ces manoeuvres sont également un moyen pour les régimes de se débarrasser de l’opposition.
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