
Pouvoir total : l’IA et la fin de l’imagination
Dans son dernier ouvrage qui paraît aujourd’hui aux éditions L’Échappée, le philosophe Éric Sadin revient sur l’affaire Jianwei Xun.
Nous en publions les bonnes feuilles.
Dans son dernier ouvrage qui paraît aujourd’hui aux éditions L’Échappée, le philosophe Éric Sadin revient sur l’affaire Jianwei Xun.
Nous en publions les bonnes feuilles.
La puissance de l’IA est un problème pour le projet contre-révolutionnaire trumpiste.
Alors qu’une partie de sa coalition considère qu’elle est un instrument du Diable, Trump s’appuie sur un groupe d’entrepreneurs néoréactionnaires pour en faire le cœur de la future Amérique.
Le long entretien accordé par le fondateur d’OpenAI au plus important podcasteur du mouvement MAGA est au cœur de cette tension.
Nous en proposons la première traduction intégrale, commentée ligne à ligne par le spécialiste Arnaud Miranda.
Une série d’erreurs stratégiques provoquées par la Maison-Blanche et la dynamique de l’écosystème chinois pourraient avoir réduit considérablement l’avantage des États-Unis sur la Chine dans la course à l’Intelligence artificielle.
Les réponses d’Andrew Ng, l’une des personnalités les plus influentes de la recherche en IA.
En 2007, l’Estonie a été le premier pays cyberattaqué par un autre État — la Russie de Poutine.
Depuis, et de plus en plus en coopération avec l’Ukraine, Tallinn invente des formes de résistance à la guerre hybride.
Alors que l’IA disrupte un continent menacé, nous rencontrons la ministre de la Justice et des Affaires numériques, Liisa-Ly Pakosta.
Alors que Poutine se croit immortel, en Russie, on propose désormais aux familles de soldats tués en Ukraine un paradis cheap.
Pour quelques roubles, une IA génère des contenus morbides : les visages et les voix de soldats morts faisant un dernier adieu à leur famille.
Au pays de Sourkov, la technologie sert à façonner une réalité alternative même après la vie — et toujours, comme nous le montrons dans ces traductions commentées — pour servir la propagande du régime.
La dislocation de l’ordre international pourrait n’avoir qu’une cause aussi simple que profonde : les États-nations ne tiennent pas dans l’espace numérique.
De la planète Mars à Westphalie, en passant par Thiel et Trump, l’un des intellectuels les plus originaux de la Silicon Valley dresse une nouvelle carte de la Terre à l’ère de l’intelligence artificielle.
Le lancement du nouveau modèle de ChatGPT a été critiqué de manière quasi unanime.
Selon Gary Marcus, malgré une adoption massive et des financements colossaux, l’IA conçue par le PDG d’OpenAI pourrait se trouver en l’état dans une impasse fondamentale.
Entretien.
Dérégulation massive. Attaque des « IA woke ». Impérialisme numérique.
Six mois après son retour au pouvoir, Donald Trump a présenté dans un long discours un plan pour transformer radicalement la politique américaine en matière d’IA.
Pour contrer la Chine, il veut faire de l’IA américaine le nouveau dollar en poussant le reste du monde à adopter massivement les semi-conducteurs et les infrastructures de calcul des géants de la Silicon Valley.
« Tous les acteurs du secteur doivent lutter contre l’arsenalisation de l’IA. »
Aujourd’hui la Maison-Blanche de Donald Trump s’apprête à détailler sa vision de l’IA pour les États-Unis.
Dans un moment où la rivalité technologique transforme en profondeur la relation transatlantique, nous interrogeons le président de Microsoft sur les bouleversements en cours à Washington et sa stratégie pour l’Europe.
Une super-intelligence artificielle qui fait plier les États — dominant le monde et les humains.
Un « Pearl Harbor de l’IA » déclenché par la Chine.
Un « équilibre de la terreur algorithmique ».
Dans un nouveau rapport, l’influent think tank qui inspire les évolutions technologiques de la puissance militaire américaine depuis 70 ans dresse 8 scénarios hypothétiques pour une géopolitique au temps de l’intelligence artificielle générale — de la domination pacifique à l’apocalypse posthumaine.