Le Fidesz, parti du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, a quitté le Parti populaire européen (PPE) au Parlement européen le 3 mars. Nous proposons une analyse de l’impact de cette décision sur la structuration des forces politiques européennes.
Dans cet entretien, le philosophe dresse le constat d’une Union européenne qui, faute de stratégie politique, se montre incapable de répondre à la déstabilisation identitaire engendrée par la mondialisation et par l’émergence de nouveaux rapports de force à l’échelle mondiale.