Sébastien Marot


À travers ses promenades urbaines, suburbaines et campagnardes, Jacques Réda dresse le portrait des lieux qu’il rencontre comme s’ils étaient autant de personnages. Le jazz, la danse, le rythme ne se tiennent jamais loin de sa rêverie promenée… comme une manière de survivre ou d’accepter «  notre disparition entre les tentacules infatigables de la ville.  »