Rosalie Mahieu


Une partie de la jeunesse étudiante libanaise se réunit dans des «  clubs laïcs  ». Ces jeunes souhaitent s’extirper du système confessionnel en vigueur depuis l’indépendance du pays, car il sous-tend selon eux un clientélisme qui gangrène la classe politique. La situation économique et politique est devenue critique depuis l’explosion d’août 2020, et appelle plus que jamais à une volonté politique qui propose une troisième voix face aux forces traditionnelles.