Alors que le risque de contagion et la crainte d’une fuite des dépôts suscitaient de réelles inquiétudes sur les marchés financiers, le gouvernement américain s’est voulu rassurant et a dévoilé le 12 mars sa réponse à la faillite de la Silicon Valley Bank. Son plan d’action s’articule en trois axes.
Brad Setser
Senior fellow au Council on Foreign Relations
Brad W. Setser est Whitney Shepardson senior fellow au Council on Foreign Relations (CFR). Il est spécialiste du commerce mondial et des flux de capitaux, et de l'analyse de la vulnérabilité financière et de la restructuration de la dette souveraine. Il tient régulièrement un blog sur le site Follow the Money.
Setser a été conseiller principal auprès du représentant américain au commerce de 2021 à 2022, où il a travaillé à la résolution d'un certain nombre de différends commerciaux. Auparavant, il a été secrétaire adjoint à l'analyse économique internationale du Trésor américain de 2011 à 2015, où il a travaillé sur la crise financière en Europe, la politique monétaire, les sanctions financières, les chocs sur les matières premières et la crise de la dette de Porto Rico, et directeur de l'économie internationale au sein du Conseil économique national et du Conseil de sécurité nationale.
Il est l'auteur de Sovereign Wealth and Sovereign Power (CFR, 2008) et coauteur, avec Nouriel Roubini, de Bailouts and Bail-ins : Responding to Financial Crises in Emerging Economies (Peterson Institute, 2004).
Il a également été chercheur invité au Fonds monétaire international. Il est titulaire d'une licence de l'université de Harvard, d'une maîtrise de Sciences-Po Paris, ainsi que d'une maîtrise et d'un doctorat en relations internationales de l'université d'Oxford.
Il est l'auteur de Sovereign Wealth and Sovereign Power (CFR, 2008) et coauteur, avec Nouriel Roubini, de Bailouts and Bail-ins : Responding to Financial Crises in Emerging Economies (Peterson Institute, 2004).
Il a également été chercheur invité au Fonds monétaire international. Il est titulaire d'une licence de l'université de Harvard, d'une maîtrise de Sciences-Po Paris, ainsi que d'une maîtrise et d'un doctorat en relations internationales de l'université d'Oxford.