Résultat pour : trump


Une semaine après la tentative d’assassinat contre Donald Trump, dans une lettre publiée sur les réseaux sociaux, Joe Biden a annoncé se retirer de la course pour la présidentielle américaine. Nous la traduisons en apportant des éclairages sur les conséquences que pourrait avoir cette décision — inédite par sa temporalité — sur une campagne déjà hors du commun.

Aujourd’hui, dimanche 21 juillet à 19h45 (Paris) Joe Biden a annoncé sur X (ex-Twitter) mettre fin à sa campagne pour l’élection présidentielle américaine après avoir subi la pression de son parti au cours des dernières semaines. Le président démocrate précise qu’il s’adressera au citoyens américains «  dans la semaine  » pour préciser sa décision et les modalités pour la suite. Il soutient la candidature de la Vice-Présidente Kamala Harris.

Depuis le début de la présidence hongroise de l’Union, Viktor Orbán se rêve en «  faiseur de paix  ». Après avoir rencontré Xi, Poutine et Trump, il a écrit une lettre au président du Conseil européen Charles Michel — un briefing en dix points où il détaille son plan. Entre provocation et défi, le lire aide à mieux comprendre pourquoi la tournée diplomatique d’Orbán était aussi un exercice de géopolitique interne.

Ursula von der Leyen devait faire aujourd’hui un exercice d’équilibriste  : marquer un cordon sanitaire avec les forces à la droite du Parti populaire et réunir les 361 voix nécessaires à sa réélection à partir de la droite, du centre et d’une partie de la gauche. Devant les eurodéputés réunis à Strasbourg, dans un discours d’une heure, la présidente de la Commission a présenté un programme pour les cinq prochaines années.

Nous le commentons ligne à ligne.

Donald Trump a donc trouvé son vice-président pour l’élection.
Que pense J.D. Vance et quelle sera son influence  ? À la droite du parti républicain, l’auteur de Hillbilly Elegy est un idéologue «  converti  » au trumpisme — mais sa ligne pèsera bien au-delà. Pour comprendre sur quoi se fonde sa vision pour les États-Unis, nous traduisons et commentons son dernier discours clef.

Plus d’un tiers des présidents américains ont été visés par des tentatives d’assassinat depuis 1835. Avec trois présidents blessés lors d’une tentative d’assassinat et quatre tués, l’histoire politique américaine est l’une des plus violentes au monde. Il s’agit de la première fois depuis 43 ans qu’un président ou ex-président américain est blessé lors d’une tentative d’assassinat depuis celle ayant visé Ronald Reagan en 1981.

Enfermer Sánchez, faire la guerre au Maroc, tuer les narcos à la mitraillette — aux Européennes, plus de 800 000 personnes ont voté pour la liste menée par Alvise Pérez, Se Acabó La Fiesta. En français  : «  La Fête est finie  ».

Influenceur star de l’ultradroite, «  Alvise  » ne compte pas s’arrêter là — au point de bientôt dépasser Vox par la droite  ?

Pour comprendre le style de cette figure d’une nouvelle génération de l’extrême droite espagnole, Steven Forti a sélectionné et commenté 10 de ses déclarations

Il s’agissait de l’une des principales craintes des dirigeants et combattants ukrainiens  : face à un front largement statique depuis fin 2022, les soutiens occidentaux de Kiev allaient se lasser et progressivement mettre fin à leur assistance militaire. Les engagements pris en faveur de l’Ukraine à Washington ainsi que l’arrivée de matériel et munitions sur le terrain suggèrent cependant que la «  fatigue de guerre  » ne s’est pas installée.

À quelques kilomètres de la frontière avec la Pologne et quelques heures seulement avant l’ouverture du sommet de l’OTAN, des militaires chinois atterrissaient au Bélarus pour conduire des exercices militaires conjoints avec l’armée de Minsk. Pendant ce temps, à Washington, les Alliés s’apprêtent à condamner plus fermement que jamais le soutien militaire apporté par Pékin à Moscou.

Hier, au podium de NatCon 4, la grande conférence annuelle des conservateurs américains, l’ex-candidat à la primaire républicaine Vivek Ramaswamy a appelé à «  déporter les bureaucrates non-élus  ». Pour Trump, les fonctionnaires fédéraux de Washington sont l’incarnation de l’instrumentalisation du gouvernement fédéral par les «  élites  ». Le licenciement des «  employés corrompus  » fait partie des mesures listées dans sa nouvelle plateforme — en plus de la «  déportation  » massive des immigrés illégaux.