Résultat pour : la chine


Au-delà de la balance commerciale, la relation transatlantique reposait sur un équilibre que Washington cherche à briser.

Mais en matraquant l’Europe de tarifs, l’administration Trump, sur les conseils de l’influent Stephen Miran, veut corriger une situation qui bénéficie aux Américains.

Si les États-Unis continuent à vouloir faire plier l’Europe, ils risquent de tout perdre  : maintenir une relation avec eux deviendra tout simplement trop cher.

À l’ère Juncker, elle a été l’architecte de la réponse européenne à la première guerre commerciale de Trump.

La veille d’une déflagration mondiale annoncée sur les tarifs, nous avons rencontré l’ancienne Commissaire européenne Cecilia Malmström.

Selon elle, l’Union peut toujours discuter — «  mais il y a des limites  ».

Une méthode de codage qui cherche à hacker le cœur de l’Amérique pourrait détruire le duo Trump-Musk — et expliquer le rapprochement entre Washington et Moscou.

Au cœur de l’accélération réactionnaire, le D.O.G.E. est fondé sur une contradiction interne qui risque de fragiliser l’Empire Trump.

Andrea Venanzoni introduit un concept clef.

Au cours des trois dernières décennies, entre 1990 et 2023, la moitié (13) des États membres actuels de l’Union ont vu la croissance de leur PIB par habitant croître moins vite que la moyenne mondiale. C’est notamment le cas de l’Italie, de la Grèce et de la Suède. Dans le même temps, la richesse par habitant en Irlande, en Roumanie et en Pologne a connu une formidable accélération depuis la fin du XXe siècle.

Aujourd’hui, lundi 31 mars, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi est à Moscou, à l’invitation de son homologue russe Sergueï Lavrov, pour parler notamment de l’Ukraine.

Une mission franco-britannique est attendue dans les prochains jours à Kiev, alors que les discussions entre les États-Unis et la Russie se poursuivent et porteraient actuellement, selon Kirill Dmitriev, sur des projets communs concernant les terres rares.

Pour Poutine, les Empires ont besoin d’un lebensraum.

Trump peut prendre le Groenland — mais la Russie aussi a des plans pour son Arctique.

Une plateforme logistique, un grand centre industriel, des resorts touristiques de luxe  : un espace à prendre pour de riches colons russes, en somme — Pôle Nord, Inc.

Nous le traduisons.

Deux mois après le retour au pouvoir de Donald Trump, plus des trois quarts des chercheurs travaillant aux États-Unis interrogés par la revue Nature déclarent qu’ils envisagent sérieusement de quitter le pays en raison de la politique agressive mise en place par l’administration républicaine à l’encontre du monde universitaire. Certains professeurs, comme l’historien Timothy Snyder, ont d’ores et déjà annoncé avoir quitté leur université américaine pour l’étranger.

Selon un rapport publié hier, jeudi 27 mars, par B4Ukraine, Razom We Stand et l’International Renaissance Foundation, 338 des 848 navires appartenant à la flotte fantôme dont se sert la Russie pour exporter son pétrole font l’objet de sanctions ciblées. Bien que les revenus tirés par Moscou de la vente de ses hydrocarbures ont baissé de près de 20  % en février par rapport à l’an dernier, les bénéfices générés par les entreprises énergétiques russes continuent de financer massivement la guerre du Kremlin contre l’Ukraine.

La venue de J. D. Vance sur une base américaine au Groenland n’est pas une visite de courtoisie — c’est une opération coercitive qui s’inscrit dans une stratégie de conquête territoriale.

L’agenda de l’administration Trump est clair, explicite et répété en boucle au monde entier  : les États-Unis s’agrandiront par tous les moyens, y compris militaires.

Pour en prendre la mesure de cette rupture, il faut la visualiser. Nous proposons une cartographie en dix points.