Sébastien Marot


Jacques Réda, l’immense poète de Paris, vient de mourir.

À travers ses promenades urbaines, suburbaines et campagnardes, il savait dresser le portrait des lieux qu’il avait rencontrés comme s’ils étaient autant de personnages. Le jazz, la danse, le rythme ne se tenant jamais loin de sa rêverie promenée… comme une manière de survivre ou d’accepter «  notre disparition entre les tentacules infatigables de la ville.  »

Un entretien étincelant, à relire aujourd’hui.