Maire de Lieusaint
Michel Bisson, né le 1ᵉʳ août 1957 à Créteil, est maire de Lieusaint (Seine-et-Marne) et président de la communauté d’agglomération Grand Paris Sud.

Michel Bisson a grandi à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Après des études de technicien supérieur en électronique et son service militaire, il s’oriente vers le management des entreprises à l’ESCP, l’École supérieure de commerce de Paris, dont il est diplômé. Il débute sa carrière professionnelle à la SNCF puis rejoint EDF en février 1980 en tant que responsable informatique. En 2001, il quitte la direction internationale d’EDF pour RTE, où il occupe le poste de responsable des systèmes d’information des fonctions centrales au siège de La Défense, jusqu’à sa retraite.
Le premier engagement citoyen de Michel Bisson date de 1992 : il rejoint la Fédération des Conseils de Parents d’Élèves. Il siège comme représentant des Lieusaintais à l’école primaire Jules Ferry et au collège Saint-Louis.
En 1995, il devient adjoint au maire de Lieusaint en charge des finances, engageant le désendettement de la commune. À la démission du maire, Christian Gutierrez, en 1998, il est élu maire de la commune et vice-président du syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart, chargé de la médiation urbaine. En 2001, la liste de gauche plurielle qu’il conduit obtient 60 % de suffrages au premier tour de l’élection municipale. Il est reconduit comme maire de la commune, puis comme vice-président du syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart, avec une délégation élargie à la politique de la ville et au sport. Il est également choisi comme président du conseil d’administration de l’Établissement public d’aménagement de Sénart, qui gère le développement de l’économie et de l’habitat et aménage le bassin de vie.
Réélu en 2008, il est nommé en 2009 président de la maison de l’emploi et de la formation de Sénart. En 2014, Michel Bisson est réélu maire dès le premier tour. Au syndicat d’agglomération de Sénart, les conseillers communautaires le désignent comme président.
En janvier 2016, l’agglomération de Sénart fusionne avec 3 agglomérations voisines, Évry-Centre-Essonne, Seine-Essonne, Sénart-en-Essonne, et la ville de Grigny pour former une nouvelle intercommunalité, la communauté d’agglomération Grand Paris Sud. Il y exerce les fonctions de président délégué et de premier vice-président en charge du développement économique, du projet de territoire, de la modernisation de l’action publique et du pôle métropolitain.
Le 8 janvier 2019, après la démission de Francis Chouat, Michel Bisson est choisi comme président de Grand Paris Sud par les conseillers communautaires. En 2020, il est successivement reconduit dans ses fonctions de maire, puis, le 7 juillet, de président de l’agglomération Grand Paris Sud.
Depuis 2020, Michel Bisson est vice-président et membre du bureau de France urbaine, l’association représentant les métropoles, communautés urbaines, communautés d’agglomération et grandes villes de France. Il co-préside, avec Frédéric Leturque, maire d’Arras et président de la communauté urbaine d’Arras, la commission « Politique de la ville et cohésion sociale ».
En avril 2023, il est élu président du syndicat Eau du sud francilien, qui a pour objet la reprise en propriété publique des installations de production et de transport d’eau potable de l’ensemble du réseau interconnecté sud francilien, ainsi que la maîtrise publique de l’ensemble du service de l’eau potable aux populations.
Le premier engagement citoyen de Michel Bisson date de 1992 : il rejoint la Fédération des Conseils de Parents d’Élèves. Il siège comme représentant des Lieusaintais à l’école primaire Jules Ferry et au collège Saint-Louis.
En 1995, il devient adjoint au maire de Lieusaint en charge des finances, engageant le désendettement de la commune. À la démission du maire, Christian Gutierrez, en 1998, il est élu maire de la commune et vice-président du syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart, chargé de la médiation urbaine. En 2001, la liste de gauche plurielle qu’il conduit obtient 60 % de suffrages au premier tour de l’élection municipale. Il est reconduit comme maire de la commune, puis comme vice-président du syndicat d’agglomération nouvelle de Sénart, avec une délégation élargie à la politique de la ville et au sport. Il est également choisi comme président du conseil d’administration de l’Établissement public d’aménagement de Sénart, qui gère le développement de l’économie et de l’habitat et aménage le bassin de vie.
Réélu en 2008, il est nommé en 2009 président de la maison de l’emploi et de la formation de Sénart. En 2014, Michel Bisson est réélu maire dès le premier tour. Au syndicat d’agglomération de Sénart, les conseillers communautaires le désignent comme président.
En janvier 2016, l’agglomération de Sénart fusionne avec 3 agglomérations voisines, Évry-Centre-Essonne, Seine-Essonne, Sénart-en-Essonne, et la ville de Grigny pour former une nouvelle intercommunalité, la communauté d’agglomération Grand Paris Sud. Il y exerce les fonctions de président délégué et de premier vice-président en charge du développement économique, du projet de territoire, de la modernisation de l’action publique et du pôle métropolitain.
Le 8 janvier 2019, après la démission de Francis Chouat, Michel Bisson est choisi comme président de Grand Paris Sud par les conseillers communautaires. En 2020, il est successivement reconduit dans ses fonctions de maire, puis, le 7 juillet, de président de l’agglomération Grand Paris Sud.
Depuis 2020, Michel Bisson est vice-président et membre du bureau de France urbaine, l’association représentant les métropoles, communautés urbaines, communautés d’agglomération et grandes villes de France. Il co-préside, avec Frédéric Leturque, maire d’Arras et président de la communauté urbaine d’Arras, la commission « Politique de la ville et cohésion sociale ».
En avril 2023, il est élu président du syndicat Eau du sud francilien, qui a pour objet la reprise en propriété publique des installations de production et de transport d’eau potable de l’ensemble du réseau interconnecté sud francilien, ainsi que la maîtrise publique de l’ensemble du service de l’eau potable aux populations.