Incendire, le dernier livre d’Hélène Cixous, part de l’expérience vécue d’un méga-feu pour remonter le fil de ses vies.
Dans une conversation fleuve avec le critique d’art Hans Ulrich Obrist, elle jette des ponts entre la permanence d’un ailleurs très ancien et le motif tout proche de la fin du monde pour penser son rapport à la langue et à l’inachevé — accompagnée par Montaigne, Kafka, Rilke, Ronsard, Moïse et la Méduse.