Depuis dimanche dernier, la Moldavie vivait une crise politique qui voyait s’affronter deux gouvernements. Le parti démocrate de l’oligarque Vladimir Plahotniuc s’est finalement résigné vendredi au profit de la coalition soutenue par plusieurs capitales européennes, les États-Unis et la Russie. Cependant, la composition antagoniste de cette coalition formé contre l’oligarque ouvre des perspectives floues sur la gouvernance d’un pays qui cumule les problématiques.
Axel Genoud Prachex