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La Commission a annoncé mercredi 6 février son opposition à la fusion d’Alstom et des activités ferroviaires de Siemens, provoquant des protestations à Paris comme à Berlin. Les deux entreprises cherchaient à se prémunir contre l’expansion du géant chinois CRRC. À quelques mois des élections européennes, l’occasion est bonne pour Emmanuel Macron pour faire progresser ses idées de politique industrielle européenne. Mais s’agit-il du bon cheval de bataille ?
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