Ce contenu est réservé aux abonnés
Le samedi 13 octobre, une caravane de réfugiés honduriens est partie de San Pedro Sula. Le groupe, de plus de deux mille personnes, fuit le chômage et l’insécurité de son pays d’origine pour chercher de meilleures conditions de vie aux États-Unis. Face à ce qu’il estime être une “attaque” imminente, Trump menace le président du Honduras, Juan Orlando Hernández, de lui couper les aides, notamment financières, s’il n’arrête pas cette caravane.
Abonnez-vous pour lire la suite
Pour avoir accès à l’ensemble de nos publications opérationnelles (signaux faibles, dossiers de synthèse, contrepoints sur l’actualité ), rédigées chaque jour par nos analystes, et pour soutenir notre démarche, vous pouvez choisir une de nos formules d'abonnements.
Si vous disposez d’un compte, il suffit de se connecter