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La catastrophe de Gênes a conduit le gouvernement italien à blâmer l'Union. Mais ces accusations ne sont pas fondées : alors que la responsabilité première de la gestion du réseau routier incombe aux États membres, Bruxelles a soutenu l'augmentation des investissements dans la construction et l'entretien des infrastructures. Pour savoir qui est vraiment responsable, l'Italie devrait se regarder dans le miroir.
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