
Encouragés par la fragmentation de l’ordre mondial, des groupements « minilatéraux » voient le jour et gagnent en importance. Au-delà du bilatéralisme, ces formats permettent de travailler à plusieurs, par affinités sur un programme d’élection, échappant aux écueils de l’unanimité ou des consensus difficiles. Mais à l’ombre d’un multilatéralisme usé, jusqu’à quand ces alliances pourront-elles coexister en paix ?