Olivier Mannoni


À l’été 1933, quelques mois après l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler, Sigmund Freud témoigne pour la première fois à Marie Bonaparte son inquiétude sur ce qui est en train d’émerger. Dans cette courte lettre, traduite et commentée par Olivier Mannoni, une clairvoyance inquiète se fait jour — comme une prémonition.