D’ici cinquante ans, il y aura plus d’utilisateurs morts que vivants sur Facebook
Données qui changent la donne
Si la plateforme Facebook reste autant utilisée au cours des prochaines décennies, le nombre d’utilisateurs décédés devrait dépasser le nombre de ceux qui sont encore en vie entre 2060 et les premières décennies du XXIIe siècle, selon une étude de deux chercheurs de l’université d’Oxford.
Au-delà de l’impact écologique représenté par le stockage sur des serveurs de données sur plusieurs dizaines de milliards d’utilisateurs, cette étude interroge également la confidentialité posthume ainsi que le rapport à la mort en ligne — à l’heure où de nombreux contenus disparaissent chaque année d’Internet.