C’est un sujet de tension entre les États-Unis et l’Union : une potentielle incompatibilité entre le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et l’accord mondial sur l’acier et l’aluminium durables. Pourtant, il est possible d’interpréter les règles de l’OMC de manière favorable à ces deux dispositifs. C’est même une nécessité.
Le système commercial international n’a pas réussi à relever le défi posé par le choc chinois. S’il veut rester pertinent, il ne peut faire obstacle à la recherche de solutions au défi le plus pressant de notre époque — le climat.