Bien que la Russie ait perdu la majeure partie de son influence dans les Balkans, Moscou conserve le contrôle d’une part importante du secteur énergétique serbe.
La Petroleum Industry of Serbia (NIS), détenue majoritairement par Gazprom, est devenue ces derniers mois un point central de la lutte entre les États-Unis, l’Union et la Russie.