Membre influente de la Convention constitutionnelle chilienne, Manuela Royo revient sur l’un des problèmes centraux que le nouveau texte permet d’affronter : la privatisation de l’eau. En ce jour de vote, elle soutient que la Constitution mettrait fin pour de bon à un système de captation qui conduit à la destruction d’écosystèmes.
Manuela Royo