Katarzyna Pisarska

Présidente, Warsaw Security Forum

La professeure Katarzyna Pisarska est présidente du Forum de sécurité de Varsovie, l'une des quatre cofondatrices de la Fondation Casimir Pulaski et présidente du Conseil de la Fondation.

Elle est également fondatrice et présidente du conseil d'administration de l'Académie européenne de diplomatie. Elle poursuit ses activités de recherche et d'enseignement en tant que professeure associée à l'École d'économie de Varsovie. Enfin, elle occupe plusieurs postes dans des organisations hors de Pologne, notamment celui de vice-présidente et membre du conseil d'administration du Forum européen d'Alpbach en Autriche, de chercheuse senior au Center for European Policy Analysis à Washington D.C. et d'experte du Forum économique mondial en Suisse.
Auparavant, le professeur Katarzyna Pisarska a été chercheuse invitée Fulbright à l'université Harvard (2007), chercheuse invitée à la School of Advanced International Studies de l'université Johns Hopkins (2010), à l'université nationale australienne (2015) et à l'université de Californie du Sud (2019). Elle est spécialisée dans la politique étrangère de l'UE, le Partenariat oriental, les relations entre l'UE et la Russie et la diplomatie publique. Elle est l'auteure de la monographie « The Domestic Dimension of Public Diplomacy — Evaluating Success through Civil Engagement » (Palgrave 2016). Pour ses réalisations en matière de leadership dans le secteur à but non lucratif, le professeur Katarzyna Pisarska a été reconnue en 2014 comme Young Global Leader par le Forum économique mondial, puis sélectionnée pour siéger au groupe consultatif YGL. Elle a également été nommée parmi les « 99 under 33 », les leaders mondiaux les plus influents en matière de politique étrangère, par le Diplomatic Courier à Washington D.C.
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Demain matin s’ouvre le Forum de sécurité de Varsovie, en partenariat avec la revue.

Pour sa présidente Katarzyna Pisarska, l’Union est face à un choix simple  : si elle ne fait pas gagner l’Ukraine maintenant, elle accepte de livrer ses citoyens à une guerre directe contre la Russie de Poutine — dont les drones ont déjà commencé à envahir le ciel européen.