Pour théoriser son hégémonie sur la politique mexicaine, le président López Obrador avait une formule-choc : « changement de régime ».
Dans un peu moins de deux semaines, la nouvelle présidente mexicaine Claudia Sheinbaum lui succèdera — mettant fin à une ère caractérisée par des transformations profondes de la démocratie et de l’État mexicain.
Humberto Beck tire un premier bilan de l’obradorismo.