Quelle idée se fait-on d’une littérature étrangère quand on n’en traduit qu’une (trop) petite partie ? Quelles différences apparaissent si l’on compare le panorama littéraire tchèque au paysage des ouvrages qui en sont traduits vers le français ? Une perspective de notre correspondant littéraire en langue tchèque.
Benoit Meunier