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Si elle marque souvent la convergence, la fraternité ouvre autant qu’elle enferme. Dans un détour par la littérature, Alexandre de Vitry, qui publie aux éditions Gallimard Le droit de choisir ses frères ? revient sur l’histoire d’une notion complexe qui procède autant de l’intime que du politique et du sacré — en proposant une clef : la langue de la fraternité est peut-être celle du délire.