La crise sanitaire a conduit les États à adopter des mesures exceptionnelles qui ont pu avoir un effet préjudiciable, voire ont mis en parenthèse un certain nombre de droits humains. Alessandra Spadaro revient sur la nature de ces restrictions et sur leur nécessaire contrôle.
Alessandra Spadaro
Doctorante à l'Institut de Hautes Études Internationales et du Développement et assistante d'enseignement à l'Academie de droit international humanitaire et droits humains à Genève