Claudia Piñeiro, La muerte ajena, Alfaguara
« Verónica Balda est journaliste.
Elle anime l’une des matinales les plus écoutées du pays.

Un jour, elle reçoit une nouvelle qui va bouleverser sa vie : une jeune femme est tombée du cinquième étage d’un immeuble du quartier de Recoleta, à Buenos Aires.
L’appartement appartient à un entrepreneur agricole renommé et la mort de cette femme est bien plus qu’une simple nouvelle alarmante. Verónica sait qui elle est, une histoire dense et secrète les relie. Au fil du roman, le lecteur découvrira différentes versions des faits, révélant à quel point un récit peut être multiple et subjectif, plein d’artifices et de suppositions.
Maîtresse dans l’art de créer des atmosphères inquiétantes et de manier la tension narrative, Claudia Piñeiro aborde avec audace un sujet d’une actualité effrayante et dévoile, à travers la possibilité toujours fascinante de la fiction, l’un des liens les plus sombres, intimes et anciens : celui de la prostitution VIP avec le pouvoir en place. »
Parution le 29 mai.
Dominique Fourcade, voilà c’est tout, P.O.L

« tueuse, et tuante
est l’époque
à nouveau insensément cruelle
c’est un murmure distinct entre des lèvres inconnues sur lesquelles on a peur de poser les siennes.
Directement écrit à la suite de ça va bien dans la pluie glacée (P.O.L, 2024), ce nouveau poème intensifie la déchirure provoquée par les événements tragiques de la guerre à Gaza — dans l’intimité, le quotidien, dans l’histoire, dans les oeuvres (poésie, sculpture, musique…).
Chaque texte tremble d’espérer que le moment présent ne soit pas celui où « la race humaine a peut-être besoin du bain de sang et du passage périodique dans la fosse funèbre » (reprenant les mots de Marguerite Yourcenar dans les Mémoires d’Hadrien). Le poète ajoute : « Je redoute que ce soit le cas pour la Palestine comme pour Israël ».
Texte à la fois spectaculaire, érotique, psalmodique, répétitif, dissonant, composé de plusieurs moments lyriques arrachés à la vie, aux événements, aux rencontres, notamment de splendides variations autour de la sculpture de Rodin, Iris, messagère des dieux. voilà c’est tout est écrit au bord du précipice collectif, repoussant la mort, tenant jusqu’au bout à « la condition de voyeur », devant le monde et son désastre, sa beauté, jusque dans « l’impasse de la condition humaine ». Sachant qu’il n’y a de vérité que paradoxale : Je vous interdis, vous m’entendez, je vous interdis de perdre espoir. »
Parution le 15 mai.
Maciej Siembieda, Sobowtór (Le sosie), Agora

« Qui est cet homme qui trompe le monde de l’art depuis des siècles ?
Des œuvres inconnues d’un maître de la Renaissance apparaissent régulièrement dans des ventes aux enchères et des collections privées.
Elles sont parfaitement exécutées, peintes sur des toiles du XVIe siècle, et pourtant… elles sont fausses. La légende veut que leur auteur soit « Gemello », un génie de la peinture et maître de la contrefaçon qui vivrait depuis plusieurs siècles. Depuis l’époque de Napoléon, les polices de toute l’Europe tentent en vain de le capturer.
Lorsqu’une fondation créée par un politicien conservateur annonce l’exposition de portraits inconnus de Martin Luther et Jean Calvin, Jakub Kania, ancien procureur de l’Institut national de la mémoire nationale et désormais expert en fraude à l’assurance, commence à avoir des soupçons. S’agit-il vraiment de chefs-d’œuvre datant de plusieurs siècles ou d’une vaste escroquerie qui permettra à la fondation de gagner des millions ? L’enquête le mène de la Varsovie contemporaine à la Cracovie d’avant-guerre et à Vienne, jusqu’à l’Europe d’après-guerre. Avec Ludmiła Ungier, journaliste et critique d’art, Kania découvre que la mystification va beaucoup plus loin que quiconque aurait pu l’imaginer.
Qui est vraiment « Gemello » ?
L’histoire du faussaire est-elle vraie ?
Ou peut-être que derrière cette mystérieuse affaire se cache quelque chose de plus dangereux que la simple contrefaçon de tableaux ? »
Publié le 23 avril.
Stefano Massini, Donald. Storia molto più che leggendaria di un Golden Man, Einaudi

« Peut-on raconter l’histoire de l’homme le plus puissant de la terre comme le ferait un conteur des siècles passés, en mêlant histoire et légende, chronique et mythe, horreur et parodie ?
Pour narrer la vie de son protagoniste encombrant, exagéré et prédestiné, Stefano Massini part du début : une famille d’origine allemande, une allée bien entretenue qui traverse une pelouse parfaitement tondue, une maison nichée dans le calme idyllique du Queens.
Pour tempérer la légende par l’humour et saboter la mythologie par le sarcasme, Massini entre dans les moindres détails et les relie à la trajectoire d’une existence peuplée de personnages : les parents, le directeur, le chauffeur, la Golden Wife. Et puis l’avocat, celui qui sent le potentiel de Donald et qui est le premier à percevoir son charisme, qui lui enseigne le désenchantement et l’utilitarisme. Qui le pousse vers le succès, jusqu’à la conquête de New York, jusqu’à la plus haute tour qui porte son nom.
Pendant ce temps, dans le monde, l’histoire continue : les discours incendiaires de Malcolm X, Lee Oswald qui sort de chez lui armé d’un fusil, Elvis Presley et Frank Sinatra, Muhammad Ali qui vole comme un papillon…
Mais pendant que tout cela se passe, nos yeux sont exclusivement tournés vers les aventures de ce garçon à la peau rougie et aux cheveux blonds qui devient rapidement un homme, se fait appeler « Golden Boy », séduit les filles et ne respecte pas l’autorité des autres. Nous caressons l’herbe des terrains de baseball où il joue, nous le voyons porter son premier costume élégant et monter dans une Cadillac, nous l’accompagnons dans son ascension triomphale sur le marché immobilier…
Jusqu’à ce que nous voyons prendre forme sa dernière idée grandiose : la politique comme stratégie de sortie.
Au désastre financier, à l’obsolescence, à la vieillesse, peut-être à la mort. Stefano Massini écrit la chanson de geste d’un personnage opaque, insaisissable, qui fait du mensonge un art et du succès une obsession.
Voici l’histoire des dix minutes cruciales et des fatalités qui ont fait de Donald J. Trump l’anti-héros du siècle dernier et la grande terreur du millénaire qui vient de commencer. »
Parution le 13 mai.
Camila Sosa Villada, El viaje inútil, Tusquets

Avec rage et poésie, voici le récit cru de la vie de Camila Sosa Villada, de ses origines, de son enfance douloureuse — un corps de femme clandestin battu par la fureur alcoolique de son père, de son expérience en tant que travesti qui connaît la prostitution, mais aussi le succès au théâtre, et de là, l’écriture, qui ne peut être que radicale, intense, à la recherche d’une réparation impossible :
« J’écris pour qu’une histoire soit connue.
L’histoire de mon travestisme, de ma famille, de ma tristesse dans l’enfance, de toute cette tristesse prématurée qu’était ma famille, de l’alcoolisme de mon père, de les carences de ma mère.
Les déménagements qui m’éloignaient pour toujours de mes amis, du climat de mes chambres, de l’habitude des cours, de la sécurité d’une cachette.
J’écris pour pouvoir raconter les images qui ont peuplé mon enfance.
Aussi pour raconter la lutte de ma famille contre la pauvreté, une lutte qui nous a dévastés et rendus malades de rancœur, de désamour et d’indifférence, tous contre tous. »
Parution le 7 mai.
François-Henri Désérable, Chagrin d’un chant inachevé. Sur la route de Che Guevara, Gallimard

« Cet automne-là, les taux d’intérêt étaient en baisse, les prix de l’immobilier en hausse, ma famille, mes amis s’inquiétaient : est-ce qu’il n’était pas temps que j’investisse dans la pierre ?
Avec un peu de chance et un banquier indulgent, je pouvais peut-être m’endetter sur trente ans (mon âge à l’époque).
Je n’en avais ni les moyens ni l’envie.
Signant un acte de vente, j’aurais eu la sensation de signer mon propre registre d’écrou — et de voir ma liberté circonscrite à quelques mètres carrés.
Et puis un appartement, ça se meuble ; aux meubles, il faudrait toujours préférer son sac de voyage. »
De Buenos Aires à Caracas, François-Henri Désérable nous embarque dans une formidable traversée de l’Amérique du Sud.
Cinq mois à moto, en stop, en bateau, avec une seule contrainte : emprunter l’itinéraire qui fut celui d’Alberto Granado et d’Ernesto « Che » Guevara, lors du fameux voyage à motocyclette, soixante-cinq ans plus tôt.
Parution le 8 mai.
Juan José Millas, Ese imbécil va a escribir una novela, Alfaguara

« Un écrivain qui répond curieusement au nom de Juan José Millás est chargé par le journal pour lequel il travaille d’écrire ce qui pourrait être, selon lui, son dernier reportage.
Il doit donc réfléchir soigneusement au sujet qui servira de point d’orgue à toute une carrière.
La recherche du reportage parfait réveille en lui le souvenir d’un épisode de son passé, enveloppé dans le brouillard entre réalité et imagination, qui le confronte à une partie de sa vie oubliée au fil des ans.
Qu’est-il arrivé au directeur de la succursale de la Banco Hispano Americano qu’il était allé visiter un matin de son enfance avec sa mère ? Et à son ami d’université, Alberto ?
Juan José Millás aborde dans cette histoire, à la fois étrange et profonde, le mystère de l’identité, les limites de la fiction et le pouvoir de la littérature pour donner forme au réel.
Ese imbécil va escribir una novela (« Cet imbécile va écrire un roman ») représente un saut mortel pour Millás en tant que narrateur, qui joue avec le lecteur dans ces pages comme un illusionniste, un magicien des mots, un prestidigitateur éblouissant. »
Parution le 8 mai.
Christian Berkel, Sputnik, Ullstein

« Le 4 octobre 1957, les premiers satellites atteignent l’orbite terrestre.
Peu après, Sputnik voit le jour à Berlin-Ouest.
Il grandit entre les histoires de Sala, sa mère bien-aimée qui oppose ses propres images à la réalité, et les livres de son père Otto.
Très tôt, le monde devient sa scène, tout le monde semble jouer un rôle — et comment comprendre la vie autrement ?
Adolescent, il s’enfuit à Paris : dans le monde de la littérature et auprès d’Annie, qui lui apprend le désir, l’amour et la jalousie. Puis il revient en Allemagne, en plein dans le monde théâtral des années 70, marqué par le renouveau. Une période d’expérimentation effrénée s’ensuit, jusqu’à ce que Sputnik commence à deviner qui il est, ou du moins qui il pourrait être.
Dans son troisième roman, Christian Berkel se lance à nouveau sur les traces de sa vie.
Mais bien davantage qu’un regard en arrière, cette histoire est un voyage hors de celle-ci, vers un présent effroyablement différent, dans lequel nous ne comprendrons jamais qui nous sommes sans le passé. »
Parution le 30 mai.
Fernanda Melchor, Ici, c’est pas Miami, Grasset

« Veracruz, sur la côte caribéenne du Mexique, est l’une des villes les plus dangereuses du monde.
C’est aussi le lieu de naissance de Fernanda Melchor, figure incontournable des lettres latino-américaines.
Avec ce recueil de chroniques littéraires, la romancière fait le portrait d’une cité portuaire ravagée par le narcotrafic depuis les années 1970. Dans chaque récit, Fernanda Melchor raconte comment ses habitants vivent sous le joug d’une violence généralisée où les fusillades, les règlements de compte et la corruption n’épargnent personne.
Une ancienne reine du carnaval, accusée d’infanticide, est traitée comme une paria ; un avocat, convoqué par un membre du cartel Los Zetas, s’arrange avec la vérité ; des clandestins dominicains, épuisés par leur traversée, croient être à Miami quand ils accostent à Veracruz ; une adolescente, possédée par un démon, doit subir un exorcisme.
La réalité de Veracruz est cruelle, mais les bourreaux ont aussi des élans d’humanité, et les victimes leur part d’ombre.
Dans la grande tradition du journalisme littéraire qui va de Truman Capote à Leila Guerriero, Fernanda Melchor interroge l’origine du mal, en affirmant le pouvoir des mots pour le combattre. L’intelligence de cette observatrice de son temps et de la condition humaine fait d’Ici, c’est pas Miami une lecture dont nul ne peut sortir indemne. »
Parution le 7 mai.
Tomasz Różycki, Les Voleurs d’ampoules, Noir sur blanc — Prix Grand Continent

« Habitant au dixième et dernier étage d’une barre d’immeuble, chef-d’œuvre d’architecture brutaliste à l’époque du communisme tardif, Tadeusz s’est vu confier par son père une tâche difficile : aller porter un précieux, un miraculeux paquet de café en grains à M. Stefan, le seul voisin à posséder encore un de ces vieux moulins à manivelle.
L’expédition n’est pas facile, il faut s’aventurer tout au bout du couloir. Il fait plus de cent mètres et il est toujours sombre — les locataires ne cessent d’y voler les ampoules.
À la faveur de cette odyssée, Tomasz Różycki nous raconte le quartier de son enfance, avec ses monstres, ses demi-dieux, ses ragots, ses petites affaires et ses exploits de légende. Ithaque ? C’est un appartement de 35 m2 que Tadeusz habite avec ses frères et sœurs et leurs parents.
De même que la mémoire de l’auteur, ce long chemin obscur a tout du labyrinthe.
Dans une prose tantôt lyrique, tantôt clinique, avec autant d’humour que de goût pour la rêverie, ce panorama d’une enfance au crépuscule de l’époque communiste est un enchantement. »
Lire son discours lors de la cérémonie du Prix Grand Continent
Lire sa pièce de doctrine sur l’élargissement européen
Rencontrer l’auteur à la BnF le 22 mai
Héctor Abad Faciolince, Ahora y en la hora, Alfaguara

« Au milieu de l’année 2023, à peine remis d’une opération à cœur ouvert, Héctor Abad Faciolince a accepté l’invitation à un salon du livre en Ukraine.
Ce voyage littéraire s’est toutefois transformé en quelque chose d’autre : explorer les horreurs de l’invasion russe dans la région de Donetsk, près du front, en compagnie de quatre autres personnes.
Le dernier jour, pour se dire au revoir, le groupe de voyageurs s’est rendu dans une pizzeria de Kramatorsk pour dîner.
Là, « comme un coup de tonnerre », ils ont été victimes d’un événement qui allait les transformer à jamais : un missile russe, contenant six cents kilos d’explosifs, s’est abattu en plein centre de la ville, tuant treize personnes et en blessant plus de soixante. L’une des victimes mortelles était la jeune écrivaine ukrainienne Victoria Amélina, guide et compagne de ce voyage testimonial qui s’est terminé en tragédie.
Dans ce récit intense, où la vie, la vieillesse et la mort s’opposent de manière vertigineuse, l’auteur fait la chronique de ces événements et revient avec une franchise émouvante sur les thèmes qui ont inspiré le meilleur de sa littérature : les effets dévastateurs de la violence et de la guerre ; l’indignation face à la mort d’innocents ; la culpabilité et la stupeur de ceux qui n’ont pas succombé, et leur irrépressible envie de raconter ce qu’ils ont vu et de réfléchir à l’expérience étrange et hasardeuse d’avoir survécu — une fois de plus. »
Parution le 22 mai
Philippe Claudel, Wanted, Stock

« Mon idée est toute simple, non ? Je suis étonné de ne pas y avoir pensé plus tôt. »
Elon Musk
Parution le 14 mai.
Aroa Moreno Durán, Retour à Pasaia, Albin Michel — Prix Grand Continent

« Lorsqu’elle apprend que sa grand-mère est mourante, Adirane quitte Madrid pour retourner dans la maison de son enfance à Pasaia, village de pêcheurs sur la côte basque espagnole.
Espère-t-elle élucider le mystère d’une tragédie qui hante sa famille depuis la guerre civile ?
Ou renouer avec sa propre mère, qui vit toujours là ?
Tandis qu’un dialogue, hésitant et tourmenté, reprend entre les trois femmes, se dessine une généalogie traversée par les secrets et les non-dits : Ruth, la grand-mère, exilée très jeune pendant la guerre ; Adriana, la mère, qui a toujours tu les circonstances de la naissance de sa fille : Adirane, enfin, qui fuit sa petite de cinq ans.
Imbriquant l’histoire intime de trois générations de femmes à celle, mouvementée, du Pays basque, Aroa Moreno Duran enracine dans un territoire marqué par la violence une puissante réflexion sur la maternité, la mémoire et la transmission, maintenant avec brio le suspense jusqu’à la dernière page. »
Lire le discours de réception du Prix Grand Continent
Lire son compte-rendu publié dans la revue
Roberto Saviano, L’amore mio non muore, Einaudi

« Rossella Casini a un peu plus de vingt ans.
Elle est originaire de Florence.
Elle a un père et une mère aimants qui ne lui font manquer de rien.
Elle mène une existence tranquille même si nous sommes en Italie, en 1977 — et que les places sont animées par les contestations politiques, les rues envahies par la colère, la violence et l’héroïne.
Du jour au lendemain, Francesco vient bouleverser la vie de Rossella.
C’est un étudiant calabrais qui vit loin de chez lui. Le sentiment qui naît entre eux est quelque chose qu’aucun des deux n’a jamais connu.
Après quelques mois insouciants, Rossella découvre que la famille de Francesco est liée à une puissante mafia.
Pendant des vacances à Palmi, où elle a emmené ses parents, elle assiste à l’éclatement d’une vendetta : un tourbillon de violence qui emporte tout et tout le monde, dont Rossella choisit de ne pas s’échapper, du moins pas sans Francesco. Elle est convaincue que leur amour est si puissant qu’il peut mettre fin au carnage. Qu’il est l’ingrédient nécessaire pour changer le cours des choses.
Le 22 février 1981, Rossella Casini disparaît mystérieusement après avoir annoncé son retour à la maison.
Personne ne la reverra jamais.
Bien que son corps n’ait pas été retrouvé, elle est reconnue par l’État comme victime de la ‘ndrangheta.
Roberto Saviano a écrit le roman de son histoire, une aventure humaine déchirante, pleine d’amour, de violence et de courage. »
Parution le 7 mai.
Renata Bożek, Wyjarzmiona (Exorcisée), Marginesy

« Une jeune fille de la campagne qui prend son destin en main.
L’histoire commence en 1831, à la fin du mois d’octobre, lorsque Rozalka Balawender, une enfant paysanne en haillons, une prière aux lèvres et un corbeau bien desséché dans la main, jure vengeance à son maître.
Quinze ans plus tard, vêtue de pantoufles en cachemire et d’une robe en soie, elle se prépare à épouser un riche fiancé.
Comment a-t-elle réussi cette ascension sociale ?
Quels crimes et quelle débauche l’y ont conduite ?
Les péripéties de cette jeune fille hors du commun racontent l’ascension sociale.
Une histoire où le polonais standard se mêle au dialecte de la campagne lubélienne et où des personnages fictifs côtoient des personnages historiques. Vêtue d’un costume d’époque, elle participe à un débat sur les inégalités sociales et les chances de s’échapper de son milieu d’origine. C’est enfin une histoire sur le pouvoir de la différence et sur la force qui pousse l’être humain à évoluer et à changer. »
Paru le 23 avril.