La semaine prochaine, les Mardis du Grand Continent se pencheront sur la signification que peuvent avoir les élections en Bavière pour la recomposition des forces politiques européennes.
Le débat portera dans deux directions : d’une part, nous réfléchirons aux défaites successives des partis traditionnels en Europe, et nous demanderons à quel point la non-majorité absolue de la CSU en Bavière pourrait être le signe de recompositions politiques plus vastes ; d’autre part, nous nous demanderons si les progrès sans remous des Freie Wähler (Electeurs libres), aux thématiques plutôt populistes, ne témoignent pas d’une progressive banalisation du populisme en Europe.